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Continuellement en

mouvement, la Régie

des Bâtiments est sans aucun

doute bien vivante!

En 2015, nous avons

concrétisé de nombreuses

grandes réalisations

. Je pense notamment aux

nouveaux bâtiments pour la Protection civile de

Crisnée, les Archives de l’État à Gand, la Police

de la navigation de Zeebruges ou encore à la

nouvelle Tour des Finances à Liège. D’autres

projets ont également bien avancé comme les

travaux de modernisation au Musée royal de

l’Afrique centrale de Tervueren.

Parallèlement, nous avons fait

évoluer favora-

blement de nombreux projets stratégiques

et opérationnels

ayant pour objectifs d’amé-

liorer notre service aux clients, de renforcer

notre crédibilité sur le marché immobilier et de

développer notre vision stratégique concernant

nos activités présentes et futures.

Actuellement, nous tenons compte, dans

chaque projet, de la norme fédérale qui impose

de ne pas dépasser les 13,5 m² de surface de

travail par équivalent temps plein (ETP) corrigé.

En effet,

c’est en rationalisant les espaces

que l’on rentabilisera l’occupation de nos

bâtiments

.

Une meilleure gestion

de nos bâtiments pour

permettre à nos clients de

mieux fonctionner, voilà

notre objectif premier.

Tout en répondant aux priorités du gouverne-

ment belge, notre

objectif principal reste

en effet d’optimaliser l’hébergement des

différents services publics fédéraux

en

mettant à leur disposition une infrastructure

adaptée à leurs besoins actuels et futurs.

Notre approche est donc essentiellement

orientée client

. En 2014, nous avons d’ailleurs

mis sur pied un portail « DESK » permettant à

la Régie des Bâtiments de communiquer ses

intentions et aux clients de transmettre leurs

besoins. Et ce, de manière centralisée

et suivant un processus transparent.

Les demandes introduites via cet outil

informatique servent maintenant de base pour

la réalisation des programmes d’investissement

de la Régie des Bâtiments. Depuis le lancement

de DESK, plus de 5.000 demandes ont déjà été

encodées par environ 1.000 utilisateurs.

Édito

2

| ÉDITO